30% des entreprises françaises cessent leur activité dans les 2 ans qui suivent le décès ou la disparition d’un Homme clé ou d’un associé clé de la société !
Contrairement aux pays anglos-saxons pour lequel ce risque fait partie de la culture de l’entreprenariat. Les entrepreneurs français n’ont pas souvent le réflexe, ou méconnaissent cette protection aux risques inhérents à la disparition ou l’invalidité d’un Homme essentiel au fonctionnement de l’entreprise.
C’est là, toute la pédagogie que s’efforce de réaliser SIGMA CONSEILS ASSOCIES, cabinet d’expertise comptable dans les Hauts-de-France, près de Lille à Haubourdin et Wambrechies ainsi que les assureurs des entreprises. Cette protection est aussi rencontrée plus souvent lors des transmissions d’entreprises où de plus en plus les capitaux investisseurs (mode d’investissement ou l’investisseur consacre des capitaux au développement ou rachat d’une société ayant des besoins de croissance, de transmission ou de redressement) réclament une garantie de ce type afin de sécuriser leur investissement.
La protection « personnelle » du chef d’entreprise est souvent constatée comme une priorité par beaucoup d’entrepreneurs (contrat de prévoyance complémentaire). C’est la raison pour laquelle la protection du patrimoine professionnel est analysée dans un second temps. Pourtant le décès ou l’incapacité du dirigeant ou de l’associé opérationnel est un risque majeur pour la survie de l’entreprise.
Une analyse des besoins passe d’abord par l’identification des clients où l’actionnariat n’est pas diversifié (un seul dirigeant qui détient le savoir-faire de l’entité). Si le risque se réalise, l’objectif pour les personnes qui reprennent l’entreprise, est d’avoir la tranquillité financière (grâce à la perception par l’entité de capitaux financiers dont le montant est connue dès la souscription du contrat). Ce risque existe dans les TPE PME, où le dirigeant est chef d’orchestre mais également entre associés dirigeants d’entité de petite taille. Ce risque est inexistant pour les « grandes entreprises ».
Le montant de l’objet assurable passe par une analyse de l’entité en se basant sur les résultats moyens et sur les capitaux investis.